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C'est l'histoire d'un petit garçon. Lorsqu'il eut six ans, son père lui appris une nouvelle assez troublante : Ed' était un loup-garou. Et c'était son noble père qui l'avait toujours élevé avec tant d'amour qui lui avait transmis le gène. Ses parents avaient toujours étés bons avec lui, et un jour, il a rencontré une fille, tellement merveilleuse qu'ils se sont mariés, et qu'ils ont eus beaucoup d'enfants.

Bon, d'accord, faut vraiment que j’enclenche le bouton : retour à la réalité pour que vous compreniez que ce n'est qu'un paquet de conneries. Non parce que, ma vie, je peux vous l'affirmer, a été sur les gros titres en Russie. Le jour de sa "naissance", ça avait été : un jeune garçon retrouvé dans une benne a ordure a été recueilli par une famille plus qu'étrange. Le jour de son entré à l'école primaire, ça avait été : l'enfant miraculeux va faire ses premiers pas. Non, mais sérieusement, ma vie, c'était pire que truman show à une époque. Et, évidemment, les choses ne se sont pas améliorés lorsque la maison de mes parents adoptifs a bruler dans un incendie volontaire. A ce moment, ça avait été : l'enfant miraculé est une nouvelle fois miraculé. Bref, ce genre de titres débiles que les mauvais journalistes donnent au journaux.

Pendant deux ans, je fus mis dans un centre d'accueil. J'étais censé y rester toute mon enfance, et franchement, ce n'était pas forcément ce dont j'avais le plus envie. Heureusement, deux mois après mon entrée dans la maison d'accueil, un membre de ma famille pour le moment inconnu se présenta comme étant la mère de mon père biologique, vous savez, celui qui m'avait mis dans une benne à ordure. Cette grand mère mystérieuse habitait dans un coin pommé appelé Mystic Falls. A mes 17 ans, c'est donc là-bas que je me suis installé. Ma grand mère est morte lorsque j'avais 21 ans, donc il y a un an, mais franchement, ça ne me touche pas plus que ça, je n'étais pas très proche d'elle.

Dans cette ville, j'ai rencontré trois filles, et deux garçons. Mes deux meilleurs potes d'aujourd'hui et trois louves. Parlons en des loups. Il y eut une époque entre mes 17 ans et mes 20 ans où j'étais très très très énervé, tout le temps. Un jour, une de mes deux amies louves avaient eus un petit soucis avec un ami à elle, qui l'avait frappé, plaqué contre le mur, etc... Mes deux meilleurs amis et moi étions arrivés à ce moment là. Sans réfléchir une seule seconde, j'avais tuer le garçon en question. A la pleine lune suivante, je me transformais en loup.

Depuis, je vis plutôt bien le fait d'être un loup, mais beaucoup de personne me trouve inaccessible. Avec mes amis, inaccessibles, on l'est tous. Et je pense que cette louve qui n'arrête pas d’essayer de venir me parler, cette Lisaveta va un jour ou l'autre, finir par comprendre que quatre amis, ça me suffit.